L’Incroyable Découverte Du Candaulisme - 2e Partie

Après un premier verre plutôt excitant, nous y voilà. Nous avons rendez-vous avec Jules. Pour être plus à l’aise, nous avons décidé de faire ça chez nous. Nous préparons donc tranquillement la soirée. 

Aurélie a mis une belle robe, de la jolie dentelle et des bas, car elle sait à quel point j’adore ça. L’excitation est palpable. Nous avons fait l’amour comme des fous depuis que nous avons rencontré Jules, mais j’ai tenu à ne pas la toucher depuis 48 heures pour laisser la tension monter encore plus. J'espère juste ne pas jouir trop vite et me retrouver bête devant ce qui risque de se passer. Nous préparons un petit apéro. 

À quelques minutes de l’arrivée de notre invité, je m’assure une dernière fois que tout va bien. 
« - Ca va aller ? Tu sais que tu peux encore dire « non. » Tu peux arrêter à tout moment.
« - Ca va. Je suis un peu stressée, mais en même temps excitée. J’ai bien vu l’effet que ça t’a fait avec un simple baiser. »

Nous avons fixé nos règles. C’est elle qui choisira quand seront lancées les festivités. Elle peut arrêter à tout moment. C’est elle qui fixe le rythme et l’intensité, qui donne ses ordres. Capote obligatoire, bien évidemment. De mon côté, je suis là pour observer, mais aussi faciliter les choses ou participer sur demande. En clair : je fais ce qu’on me dit. 

L’interphone sonne. Puis la sonnette. J’ouvre la porte. Jules est là, très élégant en pantalon à pince et chemise. Je lui serre la main et le fait entrer. Aurélie arrive dans l’entrée pour l’accueillir avec un sourire à la fois gêné et heureux. Après une seconde d’hésitation, première surprise… elle s’approche de sa bouche et l’embrasse directement sur les lèvres. Ils échangent un bref baiser, déjà avec la langue. 

Nous l’installons dans le canapé et lui servons une boisson. Un martini pour tout le monde. Notre canapé ne pouvant accueillir que deux personnes, je laisse Aurélie se poser à côté de lui.

Je ne peux pas m’empêcher de dévorer ses jambes du regard. Les bas, les talons… Tout est parfait. 

Chacun prend une gorgée en silence. Je brise la glace. 

« - Merci d’être venu. Comme nous te l’avons expliqué au téléphone en prenant ce rendez-vous, c’est Aurélie qui dirige ce soir. 
- Je me laisse faire avec plaisir. »

« Si c’est moi qui décide, je crois que je vais commencer alors », lance ma femme. 

Comme lors de leur premier baiser, ce sentiment fou de jalousie et d’excitation s’empare à nouveau de moi lorsque je la vois approcher sa main du visage de Jules, puis la placer sur sa nuque, avant de retourner l’embrasser à pleine bouche. Réponse immédiate de notre invité, dont la main apparait dans le dos d’Aurelie. Elle se serre de plus en plus contre lui. Leurs mains se font de plus en plus baladeuses. Celle de Jules remonte sur la cuisse de ma femme. 

Et moi ? Je suis sur le point d’exploser. Je suis figé. Spectateur consentant de ce spectacle incroyable. Je regarde sa main remonter et la jarretière des bas apparaitre. Sa main est maintenant sur sa culotte. Je ne peux plus rien faire. Je ne crois pas avoir envie de faire quoi que ce soit. Je ne sais plus rien. Mon coeur bat trop vite. Je le vois y entrer doucement. Elle s’agite, laisse échapper des petits gémissements entre deux baisers. Elle l’embrasse dans le cou lorsque je la vois bouger son bassin. Il est en elle avec ses doigts. 

« - Va nous chercher les préservatifs dans la chambre », me lance-t-elle. 

Ma tête tourne pendant les quelques mètres qui me mènent à la chambre. Je n’ai jamais bandé aussi fort de ma vie. Lorsque je reviens avec la boite de préservatifs en main, les choses ont déjà accéléré. Il est à genou devant le canapé, la tête entre les cuisses de ma femme. Ses cuisses sont écartées en grand. Elle se tortille et gémit de plus en plus. Je la connais, et je sens qu'elle approche de l'orgasme.

"- Mets moi des doigts.
Plus vite. Plus vite", lui ordonne-t-elle. 

Il suit les ordres. Elle crie de plaisir et se contracte, plante ses doigts dans son crâne. Je ne pensais pas que tout irait si vite. Elle a déjà joui.

Mais la soirée ne fait que commencer....

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